Aujourd'hui, la rupture du ligament croisé antérieur est la lésion la plus fréquente chez les sportifs, mais elle peut survenir également chez des sujets sédentaires. Son traitement, toujours adapté aux habitudes de vies, âge et volonté du patient, reste souvent chirurgical. Cependant, malgré sa fréquence et son universalité, on retrouve tout de même des troubles de la marche suite à l'opération. Ces troubles persistent parfois jusqu'à plusieurs mois, voire même plusieurs années postopératoire.
La présente étude s'intéresse alors à la détermination des facteurs de risques liés aux troubles de la marche suite à une reconstruction du ligament croisé antérieur.